L’enchanteresse
Comment ne pas pouvoir devant l’enchanteur site,
Poétiser beauté en l’exceptionnelle
Verdure où clairs et tons profonds se multiplient,
Faisant miroir sublime refondant sa tonnelle
Sur une eau mariée ? Une mare disparaît
Laissant faim sous ma plume devenant encrier !
Je vois liane Tarzan grimper chaque sommet
Entre feuille un éclair saisit un rai choyé
Illuminant ce qui rend vie sous l’air délice,
Anime un cri d’appel sans délire accroché,
Fait musicalité en doux frissons complices
Au petit paradis orchestré d’un archet !
Le chant d’un rossignol apaise mes paupières
Sur un filet de note émis sur le feuillage,
Plissant sa ride au langoureux passage
D’une caresse hâtive à la tendre « rivière ».
Les yeux fermés je goûte la praline
Servant d’écho à l’âme émue arrimant miel
M’offrant dans son Eden fragilité surfine
Qui n’est autre que suc cadeau providentiel !
Polymnie2, posé ce jour, fait le 13 octobre 2015.
Poétiser beauté en l’exceptionnelle
Verdure où clairs et tons profonds se multiplient,
Faisant miroir sublime refondant sa tonnelle
Sur une eau mariée ? Une mare disparaît
Laissant faim sous ma plume devenant encrier !
Je vois liane Tarzan grimper chaque sommet
Entre feuille un éclair saisit un rai choyé
Illuminant ce qui rend vie sous l’air délice,
Anime un cri d’appel sans délire accroché,
Fait musicalité en doux frissons complices
Au petit paradis orchestré d’un archet !
Le chant d’un rossignol apaise mes paupières
Sur un filet de note émis sur le feuillage,
Plissant sa ride au langoureux passage
D’une caresse hâtive à la tendre « rivière ».
Les yeux fermés je goûte la praline
Servant d’écho à l’âme émue arrimant miel
M’offrant dans son Eden fragilité surfine
Qui n’est autre que suc cadeau providentiel !
Polymnie2, posé ce jour, fait le 13 octobre 2015.